
Il y a des vacances qui s’organisent et d’autres qui se vivent. Cet été, j’avais choisi la seconde option. Après des mois de travail intense, je n’avais qu’une direction en tête : la montagne. Pas de programme, juste le besoin de changer d’air et de retrouver ce goût simple du bon fromage.






Les journées étaient belles, chaudes. Cette chaleur d’été en montagne qui rend les balades agréables et les pauses à l’ombre précieuses. Puis, d’un coup, à 3842 mètres d’altitude sur l’Aiguille du Midi : -4°C. Le contraste vous saisit, vous réveille.
C’est là-haut que j’ai perdu mes lunettes d’un geste maladroit. Tombées dans le vide. Dans la vallée, un opticien m’a refait une paire en moins de 24h. Simple et efficace.










On a aussi eu la chance d’assister à la dernière étape du Tour de France féminin. Voir ces cyclistes donner tout ce qu’elles avaient dans ce dernier effort, c’était beau et intense.



Le reste s’est passé en famille, dehors.
Des moments éloignés des écrans où le temps passe autrement. Plus lentement.

Pour savoir avec quoi je suis parti cet été, je vous invite à (re)découvrir le second épisode de mon podcast, « Le rituel du sac d’été ».
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